Archives mensuelles : janvier 2012

1360 – ou la petite affaire

ils avaient rejeté, en bloc. la journée avait été épouvantable. épuisé je considérai pourtant avec rigueur et recul les pages déposées là; rien ne tenait de ce qu’ils en pensaient et d’autant, rien ne pouvait en changer le regard. j’avais affaire à une nouvelle … Lire la suite

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Initialement publié sur Initiale :
Les mots apparaissent comme des astres lunaires à la surface des textes. On ne voit que leurs lueurs flotter dans la nuit. Rien de plus. Pourtant, chacun est parcouru de cratères et de collines, de pleins…

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– 1357

    froid bleu d’ardeur me garde encore et contre ciel ce mi mouvement la tête un peu et ploie où nage voix replonge étoffe sombre s’écume mille sphères enroulent et tournent follement la nuit son jour emporte on ne … Lire la suite

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Chorégraphie 003

              des cordes transparentes autour desquelles seules les mains s’aminent des ténèbres forcées invitent au vertige et à la mémoire peut-être ne pas chercher de code ne pas chercher le lien le seul reste invisible … Lire la suite

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Chorégraphie immatérielle

              les mains d’une ombre écrivent sur une toile de vie des mémoires dures et fortes les poignets souples roulent une énergie perpétuelle et la fouettent c’est une eau verticale où des cercles s’encerclent … Lire la suite

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je suis venue te dire – 6

  je suis venue te dire que       la mi-lune n’a plus midi Natori dévastée l’a fait pencher   la chair d’un pôle montre ses os noirs            ta planète roule plus vite que l’heure à ton poignet … Lire la suite

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lettre à Janvier

        mon vieux Janvier,   depuis quelques jours déjà tes froidures s’épuisent. quelque chose de la lumière plus longue, peut-être, vient amenuiser tes morsures, quand ta moitié givrait si dur les fenêtres – je n’y voyais plus – et dès dehors … Lire la suite

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Ha! mon cadran sonne

Ha! mon cadran sonne il sonne ce maudit cadran muni d’une sonnerie épouvantable il déchire mon rêve Ha! merde merdaille merdouille je me retrouve par terre dans un fouillis de draps délavés comme la mer – d’ailleurs ils sentent le tilleul et … Lire la suite

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