Archives mensuelles : avril 2021

(majuscule) le mot par lui-même (me) sonne et m’apparaît masculin — (j’ois « jméjacule »)— dans son atour féminisé sa grandeur trône auprès du point comme si ce point son « définitif » à l’instar de son infini lui allongeaient les pattes lui ajoutaient … Lire la suite →

(crise) ma ville confinée est en crise de logement / et tu manifestes évidemment / les propriétaires sont si gourmands / ils ressemblent au degueulasse bouffeur d’ortolans / dans ce film extraordinaire du sens de la vie /

[ affirmation parlons donc d’affirmation, qu’est-ce sinon une certaine forme de prise de position constructive laquelle est avancée de manière positive, suggestive, proposant un rendu d’une certaine expérimentation — non pas conviction — , et laquelle peut être infirmée par … Lire la suite →

[ poésie parlons de poésie. qu’est-ce donc, d’où celà vient-il ? n’était-ce pas depuis la Grèce antique un soin du médecin — soignant le corps, le coeur et l’esprit — consistant à faire rimer les contraires entre eux afin de … Lire la suite →

[ politique parlons de politique, par quoi cela commence-t-il ? par un choix, un choix qui implique d’autres choix qui en impliquent d’autres encore. d’où, le moindre choix est politique. prenons l’exemple de se brosser les dents :• tu « achètes » … Lire la suite →

tu es si loin il fait si long que je ne t’ai parlé ou écrit, ce n’est pas que j’oublie c’est que l’enfermement pèse de 18 mois de confinement, ou d’ermitage urbain, de manière volontaire mais soumise aux aléas de … Lire la suite →

(les oisillons fendent leur coquille) le temps vient il vient toujours il arrive en train ou figure un cheval fougueux il sort de nul part et fend tout il arrive et pourtant tu ne vois rien ni au loin ni … Lire la suite →

et depuis je n’ai plus vu tes sourires ils manquent comme le soleil dans le creux sombre du penchement d’hiver celui-ci étire des doigts givrés sur les fleurs des magnolias et je n’ai rien pu cueillir ni bourgeons ni pétales … Lire la suite →