Archives mensuelles : septembre 2012

Ocrées douces

          ombres et ors beautés lumière, croulent lentes âmes des peaux aux pôles d’air là les voient rondes et feutres, liesses en chamarres, rousses rumeurs songent encore douces et fièvres peu dans la pente longuement ses … Lire la suite

Publié dans impromptus | 1 commentaire

Coulée – Ariel

Coulée Je me souviens des eaux du dernier jour comme d’une idée claire dans, plus loin, les terres renversées et disant le seuil usé d’un monde intrange Peut-être terres et eaux te disaient ce que tu es, ce que tu … Lire la suite

Publié dans parole | 10 commentaires

d i v ¤ SoUnDcLoUd

   Dans La Serviette Humide la pluie que tu entends le bruit des grillons en plein soleil tu peux les toucher sur ton ventre ma bouche qui se confond avec un autre muscle pour te rentrer dedans Ton corps une histoire d’eau ton … Lire la suite

Publié dans parole | Laisser un commentaire

Autant d’heures

      Autant d’heures me tressent m’écoulent vers ce que je serai que les heures parmi vous m’effacent              

Publié dans à l'instant, impromptus | 3 commentaires

Citation

      Nous avons l’art afin de ne pas mourir de la vérité. — Nietzsche        

Publié dans Citation | Laisser un commentaire

Re/montée lente des mille visages

nous/coeur nous/cœur affamés, dans la pâleur des chants neufs, petite lumière vacillante et cortège, et tous mes fronts dans mes mains – contiens-moi, mon âme, ne m’échappe pas – sous l’effleure de sel apprenons la rivière à la rivière au … Lire la suite

Publié dans écrivailleries | Laisser un commentaire

Du côté de chez Farre

Puits Je n’entends plus grincer la poulie sur le puits ni rouler la corde au creux des jours gémellaires de cette fin d’été. Il ne reste donc que deux jours : l’un où nos mots nous gardaient tout comme l’ombre … Lire la suite

Publié dans parole | 2 commentaires

rassemblé/nous en des/cendre(s)

  nous. rassemblé/je revenu des/cendre(s). sois plus force en corps plus vive tout contre rouge l’ombre. ha tes fleurs, le sel que tu sèmes comme je brûle dans l’interne: ton revers, ma pelisse. ô ma toute, ma mie, sois sans … Lire la suite

Publié dans écrivailleries, barbouillages | Laisser un commentaire