*brûler est la lumière des hommes*
enduis-moi
de métal
luisant
de cristaux diaprés
transforment
de cristaux diaprés
transforment
m’élèvent
dans une coulée d’ombre
un mal vétuste
se ronge à mourir
bientôt une lumière neuve
sentie
singularise mon propre regard
île s’épuise lentement
entre tes eaux
dans une coulée d’ombre
un mal vétuste
se ronge à mourir
bientôt une lumière neuve
sentie
singularise mon propre regard
île s’épuise lentement
entre tes eaux
très lentement
entre tous les jours leur cuisance
l’absurde se mord à l’os aspire
aspire encore
ces effusions où nous marchons
– quand nous marchons…mon ange
entre les milliers de reflets qu’on aura inventé
pour se mieux fuir
comme si regarder les vagues effaçait l’esprit
me saigne
mon i te soutient-il toujours
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